Les ridules du lac
brillent sur l’onde sage
Où des reflets saphir
perlent suavement ;
Les clartés de l’aurore
aspirent l’air clément
Des flambeaux du soleil
délivrant leur message.
L’immensité rieuse
entrouvre son corsage
Dont les jeux de
lumière ornent le firmament ;
La myriade teint sa
bouche diamant
D’une langue turquoise
au féerique traçage.
Le poète rend grâce, il
compose des vers
Et contemple, joyeux,
les rives, l’univers,
Charmé par l’horizon
dominant la colline.
Le peintre saisit
l’œuvre, il croque la grandeur
De l’écrin du Bourget…
de son eau cristalline
Offerte à nos regards
parés de sa splendeur.
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Gratitude pour vos commentaires que je laisse ouverts à tous, je les lirai avec joie au cœur de ma pause estivale. Bonne continuation à toutes et tous dans vos belles oeuvres. Je vous retrouverai avec bonheur début septembre. Lumineuses et fraternelles pensées.