Sur
l’étoffe du temps, les jours, les nuits subissent
Les
périls de l’esprit balayant nos clartés ;
Dans
cette ombre taiseuse où le vide paresse
La
douce omniprésence illumine le soir.
Partage
musical, des éclats s’éparpillent
Lorsque
l’amour divin dessille ton regard ;
Par
quelle analogie instruire encor la flamme ?
Le
cloître qui s’entrouvre aiguillonne tes doigts.
Le
bonheur te surprend, symbolisant la grâce
De
la splendeur constante aux franges de l’espoir ;
Le
crayon pleure, craque, à fleur de l’indicible
Des
mots balbutiés jaillis de leur prison.
Une
heureuse écriture accompagne la tienne
Tandis
qu’un feu sacré te brûle de sa main ;
Le
recueil, ce fruit mûr, t’invite à l’ascétisme
Et
l’immuable guide orne ce dénouement.
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