...COMME UN RUBIS
Dans
le clair-obscur, tremble une bougie,
Son
reflet miroite en accroche-cœur ;
Un
souffle vermeil suspend l’élégie
Qui
relie au deuil le trépas vainqueur.
L’âme
qui s’élève enlace les toiles
Où
sied le portrait des petits-enfants ;
Ton
amour les ceint de perles d’étoiles,
Brillent
dans leurs yeux des ors triomphants.
La
nature-morte invite au silence
Ainsi
que ce vase : Ô belles-de-jour !
Maman
vous croqua de sa pétulance ;
Ton
visage aimé baigne encor le jour.
La
charmille exhorte une tourterelle
Est-ce
toi qui chante, en l’aube, si frêle ?
25 janvier 2014
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