Étoiles d’or pleurant dans la main ciselée de la grâce
Ces mots gravés sur la douceur d’une page blanche,
Tu goûtes la quintessence de ce jour
Lorsque ton regard pénètre l’infini.
Sur le
marchepied de l’aurore,
L’éblouissant
soleil scintille...
Et sous le
manteau froid de la brume
Soupire le gel
du matin !
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Gratitude pour vos commentaires que je laisse ouverts à tous, je les lirai avec joie au cœur de ma pause estivale. Bonne continuation à toutes et tous dans vos belles oeuvres. Je vous retrouverai avec bonheur début septembre. Lumineuses et fraternelles pensées.