Des
silences troublés que l’on s’offre à soi-même ;
Comme
le perceptible ourle notre présent
Le
passé nous effleure, il souligne aujourd’hui ;
Célébrons
l’écriture avec le cœur joyeux
Tel
un souffle vital édifiant demain ;
Les
souvenirs d’hier entremêlés d’oubli
Taisent
les feux d’amour qui veillent à jamais ;
Une
langueur muette interroge le ciel
Lorsque
le soir étreint l’âme qui vagabonde.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Sincère gratitude pour vos commentaires auxquels je répondrai dès que possible ici, après avoir visité avec joie votre blog s'il est libre d'accès. Remerciant de leur compréhension les ami(e)s publiant journellement, vous lisant avec plaisir, sans déposer systématiquement de commentaires.