Des
silences troublés que l’on s’offre à soi-même ;
Comme
le perceptible ourle notre présent
Le
passé nous effleure, il souligne aujourd’hui ;
Célébrons
l’écriture avec le cœur joyeux
Tel
un souffle vital édifiant demain ;
Les
souvenirs d’hier entremêlés d’oubli
Taisent
les feux d’amour qui veillent à jamais ;
Une
langueur muette interroge le ciel
Lorsque
le soir étreint l’âme qui vagabonde.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Gratitude pour vos commentaires que je laisse ouverts à tous, je les lirai avec joie au cœur de ma pause estivale. Bonne continuation à toutes et tous dans vos belles oeuvres. Je vous retrouverai avec bonheur début septembre. Lumineuses et fraternelles pensées.