Le
doigt fripé du temps
Pose
un voile de rides
Sur
la page écriture
Où
la source du rien
Colore
le néant.
Une
main languissante
Chasse
la solitude,
Ton
cœur vide s’émeut
Car
l’aube de l’instant
Charme
ta rêverie.
Tu
saisis d’un regard
Les
mots de l’impromptu
Lorsque
l’imaginaire
Insuffle encor
la Muse
Qui
s’est enfuie au loin.
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