Des étoiles, tes larmes d’or …
L’hiver a blanchi tes cheveux,
Lent, ton corps frêle s’abandonneL’hiver a blanchi tes cheveux,
Au solennel instant vécu.
Ne pleure plus, maman chérie …
Malgré le joug de la vieillesse,
La flamme qui ne faiblit pas.
Lumineuse maman, je t’aime …
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