EN CŒUR A CŒUR AVEC L’AMI(E)
Dieu nous visite t’il, en l’oiseau, chaque matin ?
Dieu nous parle t’il, en ce bébé qui babille ?
De la Source jaillit la Joie en l’Unité.
Le rieur de l’instant est-il un jour sérieux ?
Écoutai-je toujours l’ami(e) en confidence ?
Les reflets de l’obscur éclaircissent ma vue.
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Dieu nous visite t’il, en l’oiseau, chaque matin ?
Dieu nous parle t’il, en ce bébé qui babille ?
De la Source jaillit la Joie en l’Unité.
Le rieur de l’instant est-il un jour sérieux ?
Écoutai-je toujours l’ami(e) en confidence ?
Les reflets de l’obscur éclaircissent ma vue.
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JOYEUSES PENSÉES
L’or radieux d’une présence illumine les genêts.
Fleur rieuse, ton sourire poudroie, angélique, nos yeux.
Fulgurance d’amour, la lumière éclaire nos visages.
Plénitude, la ritournelle de l’oiseau sous les cieux.
Sérénité, cette promenade avec l’ami(e) au bord du lac.
Contemplation, l’eau ridée, ondule, offerte au rivage.
Bonheur fou, la joie en l’éclat de ce jour : unique !
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SOURIRES D'UN ENFANT
Sur le sentier de l’écriture
à tire d’aile du Verneil …
un ange frappe à la porte.
Lorsque le ciel nous brûle, un écrin de verdure délie la flamme où se tait l’heureux jour. Froidure matinale, après la brève aurore, une onde lumineuse effeuille la nature. Un signe ? Ta joie éclipse le mystère de monter tout là-haut ... où rayonne la terre. Le sentier fut-il étroit, ton âme le savoure. Bienfaits de tes ancêtres.
Précieuse lumière. Immuables senteurs des chênes séculaires amoindris par le temps. Tu découvres la sève sur les arbres en éveil. Les tapis de mousse se gravent sur ta main. Pesanteurs du bonheur. Malgré les années, tu restes l’enfant que tu fus naguère. Tu te réjouis devant tant de merveilles.
Voici que l’on frappe à la porte. Le petit ange est là. Bouclée et rayonnante, Justine entre. Ses yeux sont sertis d’étoiles. Sa chevelure chatoie comme les blés d’or. Son sourire irradie tel un soleil. Sa voix coule comme le miel. Elle étreint contre son cœur les bons grains de la terre. Temps suspendu. Douceur et tendresse, la messagère de l’offrande nous ravit.
Accents de plénitude. Virgules d’instants bénis. Source d’émerveillement, les sourires d’un enfant.
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Havre propice au cycle, en sa légèreté,
Douceur d’une présence, une haleine joyeuse,
L’amoureuse harmonie; étreinte fugitive,
Abandon, désaveu. Ciel ! L’âme entre deux eaux.
SOMMEIL
Le ressac vagissant d’un saphir de lumière
Mire un faisceau d’embruns sur la vague gris bleu
Le vent d’une rafale a propulsé la voile
Le mat claque, rugit. Forts remous des brisants,
La nuit étend sa main sur l’écume puissante
Le sable fin, la plage, un feu de bivouac,
Conscience éveillée. Aurore ! Le miroir
Suave de l’éveil, inaccessible hauteur
Des rêves refermés. Aux rivages du temps
D’invisibles frissons parcourent le sommeil,
Prémisse cérébrale ? Ô trace énigmatique !
Conscience éveillée. Aurore ! Le miroir
Suave de l’éveil, inaccessible hauteur
Des rêves refermés. Aux rivages du temps
D’invisibles frissons parcourent le sommeil,
Prémisse cérébrale ? Ô trace énigmatique !
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