LE CHEMIN LE PLUS COURT
« Quel est le chemin le plus long d’un point à un autre ? » [Jean Tardieu. Un mot pour un autre.]
Lutiner l’arbre nu. Soif des parfums d’ailleurs, d’arômes chiffonnés… se fripe le feuillage où le petit oiseau griffe une feuille morte. Sur son flambant plumage, une onde rougeoyante a duveté sa gorge.
Eclair entraperçu… la fugitive lune allume son regard, illustre clair de terre où sombre une lueur ; en son masque cendré : capteur, grandeur captée ? Un faisceau de lumière éperonne son champ ; virtuelle verdeur, son contour s’effiloche… une écharpe étoilée éclaire les nuages.
Clic-clac. Photo : l’azur, l’espace et les oiseaux. Soupirs autour de l’arbre où s’attriste le vent. Compatible univers ? La brindille légère accueille le moineau. L’hirondelle se pâme. Illusion d’optique ? Apparence ou reflets ? Chuchotis de velours sur l’ombre confidente.
Insolite poème, un cortège t’éclipse … envol et mouvements ; le frivole cachet d’une plume d’argent.
Désirer conquérir ce qui vous fuit dès lors ? Le chapeau du couchant décline à l’horizon. Rideau. Théâtre ! Vie au premier jour terrestre … en son génome humain ? Chromosome ? ADN ? Quel végétal se lie à la source pérenne ?
Jean Tardieu le dirait : « Ce que parler veut dire… oh ! Quel patois ? Méprise ! Idylle ? Les amants que le métro sépare ? Il y avait foule au … Eh ! Finissez vos phrases ! »
Le poème à jouer chante t’il l’ABC au-delà de tout sens ? Les ailes de l’esprit forment la mise en scène : humour et poésie, écriture, musique… Un art à transformer, à peindre, à nuancer, dans le miroir des mots, de leurs sonorités. La vision magique où la pièce de chambre est langage du rire, un succès fou, caché ?
La comédie heureuse attire la jeunesse et tous les amoureux des « dix mots du Printemps. »
(Prose poétique en hommage à Jean Tardieu – Les 10 mots)
Oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo
« Quel est le chemin le plus long d’un point à un autre ? » [Jean Tardieu. Un mot pour un autre.]
Lutiner l’arbre nu. Soif des parfums d’ailleurs, d’arômes chiffonnés… se fripe le feuillage où le petit oiseau griffe une feuille morte. Sur son flambant plumage, une onde rougeoyante a duveté sa gorge.
Eclair entraperçu… la fugitive lune allume son regard, illustre clair de terre où sombre une lueur ; en son masque cendré : capteur, grandeur captée ? Un faisceau de lumière éperonne son champ ; virtuelle verdeur, son contour s’effiloche… une écharpe étoilée éclaire les nuages.
Clic-clac. Photo : l’azur, l’espace et les oiseaux. Soupirs autour de l’arbre où s’attriste le vent. Compatible univers ? La brindille légère accueille le moineau. L’hirondelle se pâme. Illusion d’optique ? Apparence ou reflets ? Chuchotis de velours sur l’ombre confidente.
Insolite poème, un cortège t’éclipse … envol et mouvements ; le frivole cachet d’une plume d’argent.
Désirer conquérir ce qui vous fuit dès lors ? Le chapeau du couchant décline à l’horizon. Rideau. Théâtre ! Vie au premier jour terrestre … en son génome humain ? Chromosome ? ADN ? Quel végétal se lie à la source pérenne ?
Jean Tardieu le dirait : « Ce que parler veut dire… oh ! Quel patois ? Méprise ! Idylle ? Les amants que le métro sépare ? Il y avait foule au … Eh ! Finissez vos phrases ! »
Le poème à jouer chante t’il l’ABC au-delà de tout sens ? Les ailes de l’esprit forment la mise en scène : humour et poésie, écriture, musique… Un art à transformer, à peindre, à nuancer, dans le miroir des mots, de leurs sonorités. La vision magique où la pièce de chambre est langage du rire, un succès fou, caché ?
La comédie heureuse attire la jeunesse et tous les amoureux des « dix mots du Printemps. »
(Prose poétique en hommage à Jean Tardieu – Les 10 mots)
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