Proposition de M. le goût des autres : devoir 167
Il me semble que Lakevio avait déjà proposé cette toile de Harold Harvey mais j’aime beaucoup cette toile alors il ne me reste plus qu’à trouver une autre idée pour éviter de me faire taxer de « recyclage ». Le moment étant à l’été et aux balades dans les prés, auriez-vous par hasard une idée de ce que pensent ces deux enfants pendant cette halte champêtre?
Mon frérot, l’ami, le sport,
…une amitié à sens unique,
…une amitié à sens unique,
Lecture et poésie pour moi...
Printemps mille neuf cent soixante
Nous trois sur l’herbe frémissante
L’on souffle sur un pissenlit
Dont toute aigrette rejaillit ;
Le souvenir idéalise
Ce que l’âme visualise :
Je te contemple bel ami
Tu me transcendes cher Rémi.
Entre tes doigts la marguerite
Ne peut être la favorite ;
Pour moi ce merveilleux instant
Reflète mon émoi constant ;
Ta voix me pénètre, câline
"Je t’aime un peu, beaucoup ma Line !"
Puis ton regard scrute la fleur
Quand mon désir devient douleur.
Le hasard fait-il bien les choses ?
Ta main, ta bouche virtuoses
Insufflent ce doux bercement,
Glissant sur moi comme un serment ;
Chaque pétale effeuillé vole,
Tel mot magique me console
Mais le dernier ce bel atout
Trahit mon cœur d’un "pas du tout".
Que faire ? me lever, déçue
Tant l’amourette est sans issue !
Les deux garçons pensent au sport
Je fais tache dans le décor ;
Je rêve encor d’être séduite
Pouvant aller à l’inconduite ;
Le duo court en me criant :
Il te reste Chateaubriand.
Le voile de l’incertitude
M’entoure de la solitude…
Les garçons deviendront champions
Plaçant parfaitement leurs pions ;
Ils ont gagné médailles, coupes…
Moi de même... sur d’autres routes.
Un seul trophée aura manqué
Lequel des deux l’a remarqué ?
Nous trois sur l’herbe frémissante
L’on souffle sur un pissenlit
Dont toute aigrette rejaillit ;
Le souvenir idéalise
Ce que l’âme visualise :
Je te contemple bel ami
Tu me transcendes cher Rémi.
Entre tes doigts la marguerite
Ne peut être la favorite ;
Pour moi ce merveilleux instant
Reflète mon émoi constant ;
Ta voix me pénètre, câline
"Je t’aime un peu, beaucoup ma Line !"
Puis ton regard scrute la fleur
Quand mon désir devient douleur.
Le hasard fait-il bien les choses ?
Ta main, ta bouche virtuoses
Insufflent ce doux bercement,
Glissant sur moi comme un serment ;
Chaque pétale effeuillé vole,
Tel mot magique me console
Mais le dernier ce bel atout
Trahit mon cœur d’un "pas du tout".
Que faire ? me lever, déçue
Tant l’amourette est sans issue !
Les deux garçons pensent au sport
Je fais tache dans le décor ;
Je rêve encor d’être séduite
Pouvant aller à l’inconduite ;
Le duo court en me criant :
Il te reste Chateaubriand.
Le voile de l’incertitude
M’entoure de la solitude…
Les garçons deviendront champions
Plaçant parfaitement leurs pions ;
Ils ont gagné médailles, coupes…
Moi de même... sur d’autres routes.
Un seul trophée aura manqué
Lequel des deux l’a remarqué ?
Magnifique ! Romantique à souhait, mais alors les gars...
RépondreSupprimerBisous Emma, bonne soirée.
Coucou Praline, plus de 60 ans, on idéalise, forcément ! sourires du mercredi 28, bisous.
SupprimerUne marguerite merveilleusement effeuillée pour un poème de toute beauté
RépondreSupprimerCoucou Anne-Marie, merci beaucoup pour ta visite ... aujourd'hui, effeuille-t-on encore la marguerite ? Bisous.
SupprimerBonne soirée. Bisous
RépondreSupprimerDes bouquets pour toi !
SupprimerJ'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce poème qui raconte avec délicatesse la vie de quand on "était petit".
RépondreSupprimerCoucou cher JJ, ta visite me fait très plaisir, belle journée à toi et bonne continuation dans tes écrits et photos !
SupprimerJoli poème...Les garçons, en ce temps-là devaient comme maintenant parler du Tour de France qui a du passer près de chez eux..Dommage que l'ado fille n'aime pas le sport, elle aurait pu se joindre à la conversation..
SupprimerEt voilà, j'ai encore oublié de signer mon com, Julie ou Juliette comme on veut...
SupprimerCoucou chère Julie, merci beaucoup de ta visite ... et de ton gentil commentaire, douce soirée, bisous.
SupprimerBon moi si j'entends parler de sport, je prends la poudre d'escampette ;-)
RépondreSupprimerGros bisous et bon jeudi.
Lavandine
Lorgnette du 28 juin :
https://auboutdelalorgnettelavietoutsimplement.fr/quelques-jours-dans-le-cotentin/
Coucou chère Lavandine, merci pour ta visite, douce soirée et bisous, à très bientôt. Bravo pour ta visite dans le Cotentin, photos-reportage MAGNIFIQUES !
SupprimerLes deux garçons pensent à faire du vélo , à nager , à s'amuser , ben oui .
RépondreSupprimerJe me souviens de cette époque là , ne comprenant rien aux filles , qui faisaient des scènes bizarres alors que moi j'avais juste envie de nager , courir , pédaler , rire , blaguer , elles voulaient autre chose , mais quoi ? Pfou .....c'est compliqué la vie parfois .
Coucou Marco, merci de ta visite ... j'aime bien visiter ton blog, bel été !
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