Un frémissement, baisers
mouillés de l'éther sur les fleurs savoyardes... un papillon, un insecte se
posent sur la robe délicate des pétales... Il pleut, clapotis de larmes
célestes ... les rosiers s'épanchent sous l'ondée...

Sincère gratitude pour vos commentaires auxquels je répondrai dès que possible ici, après avoir visité avec joie votre blog s'il est libre d'accès. Remerciant de leur compréhension les ami(e)s publiant journellement, vous lisant avec plaisir, sans déposer systématiquement de commentaires.
Rêverie Automnale Le voile de brume Le parchemin des sols bruns Lignes d’infini. Chocs, les dents de la charrue La perfection des colonnes...
Cueillir l'instant présent : ici ce sont des fleurs symbole de la beauté de la nature mais aussi...de l'éphémère car combien de temps dureront - elles ? (j'ai élargi l'espace autour du tiret car le système m'a dit qu'il ne fallait pas dureront-elles)
RépondreSupprimerLes roses, cela fait penser au Petit Prince : j'avais jadis pris pour devise "l'essentiel est invisible pour les yeux, on ne voit bien qu'avec le cœur", devise que j'ai abandonnée en prenant de l'âge devant les aléas de la vie… Plus tard, je fus amené à réfléchir sur les secrets de la Rose, mais cela est une autre histoire, là aussi utopique...Et le plus drôle fut que je travaillai longtemps dans les bureaux ...d'une roseraie commercialisant dans toute la France !