L’aube s’était levée en pleurant,
Je contemplais les champs gorgés d’eau vive
Tandis que mes pas franchissaient l’herbe folle ;
Le parfum des colzas s’exhalait
Je respirais ces fragrances exquises,
Admirant les dentelles de marguerites ;
Les blés riaient bercés par le vent,
Les épis s’éclairaient de jour en jour
Enlaçant les coquelicots et bleuets ;
Dans le ciel, les nuages fuyaient
L’horizon s’auréolait de splendeur,
Mon âme captait un bonheur familier ;
D’un soupir, je frôlais ta présence,
Mon cœur se blottissait contre le tien
Puisant tout l’amour d’une force infinie.
Je contemplais les champs gorgés d’eau vive
Tandis que mes pas franchissaient l’herbe folle ;
Le parfum des colzas s’exhalait
Je respirais ces fragrances exquises,
Admirant les dentelles de marguerites ;
Les blés riaient bercés par le vent,
Les épis s’éclairaient de jour en jour
Enlaçant les coquelicots et bleuets ;
Dans le ciel, les nuages fuyaient
L’horizon s’auréolait de splendeur,
Mon âme captait un bonheur familier ;
D’un soupir, je frôlais ta présence,
Mon cœur se blottissait contre le tien
Puisant tout l’amour d’une force infinie.
Promenade chasselandécinoise
De Décines à Chassieu, la magie à fleur de Création.
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