ADRÉNALINE
Le sable et l’eau
L’horizon, la douce folie...
Langueur reflétant le soleil
Le bleu nuit de l’eau m’attirait ;
Je quittais la roche neigeuse et rejoignais le bord grisâtre ...
Mon cœur s’emballait face au vide, un gouffre béant me guidait ;
Sauter prestement dans la sphère
Ou m’envoler telle une plume ?
L’infinité m’ouvrait ses ailes…
Je voltigeais dans le zéphyr, perle glacée, esprit serein...
Le divin arrosoir du vent me dessaisissait de l’ondée,
L’espace oppressant m’exhortait!
Le grand V ! La chute ! La mort ?
Rêve ! Ô Douceur du sable chaud.
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