L'atelier d'écriture de Ghislaine - Le défi 220

"L'Atelier 220" de : Ghislaine

Sujet 1 

Futile, passager, retour, raison, pensée, oublier

Pensée futile ? oublier ce trouble passager pour un retour à la raison.

 

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Sujet 2

Sembler, prendre, gémir, cris, bois, surpris

Cris ! Le bois semble gémir, l’homme est surpris, vite prendre une pause indispensable.

 

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Sujet 3 

Un texte avec au moins 5 mots commençant par " j "

 

Jardin japonais. Jour J. Jacques jubile, juché sur la jonchée, jugeant avec justesse qu’il faut joindre les branchages coupés puis les juxtaposer judicieusement ; même si le bois pleure, Jacques justifie sa coupe afin que le jardin jouisse du soleil.

 

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Sujet 4

Un texte avec 5 mots contenant le son "ale"

 

Dans cette forêt ancestrale située en zone rurale, Jacques -de sa mine joviale- travaillait de manière artisanale dans l’exploitation familiale, comme lui avait appris son père Romuald trop âgé aujourd’hui pour l’aider. Il cultivait des champs de céréales, veillait à la qualité environnementale, se spécialisant aussi dans les plantes officinales, pratiquant une cueillette locale spéciale destinée à des préparations magistrales.

Dans l’intervalle, il égalisait ses arbres, vendant le petit bois pour des expositions florales ; il pratiquait une coupe originale, s’avérant optimale pour une vente idéale vers la Capitale.

Somme toute, rien de banal mais son père s’était fait la malle ; il vivait maintenant de façon marginale avec une provinciale, la situation devenait fatale car Romuald semblait avoir perdu la tête…

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Sujet 5

Ressenti sur cette image :

Papi Romuald et les pigeons

— Bonjour mes confidents, auprès de vous je me sens bien, assis sur mon banc. Je n’ai pas besoin de jouer la comédie. Figurez-vous que mon fiston croit que j’ai perdu la tête. Il a raison, je l’ai perdue à cause de ma douce Marinette. J’ai retrouvé l’amour.

J’ai quitté la maison car je devenais un poids pour mon fils Jacques, il a bien assez de travail dans l’exploitation.

Depuis que j’ai rencontré Marinette, c’est la fête. Je ne suis pas vieux, je vois bien malgré la brume. Voilà, vous savez tout ! Je pars retrouver Marinette, heureux comme un gamin. À demain mes anges gardiens, je vous apporterai les graines que vous aimez tant.