Saisir dans chaque rayonnement
l’éternité d’un poudroiement céleste
lorsque l’été couronne les moissons
tandis que se gravent dans notre regard
L’épi de blé, d’avoine, de seigle,
Le grain de maïs, d’orge,
La botte de foin, de paille,
où dansent d’infinies particules
blotties au creux de chaque règne
Minéral, végétal, animal...
Ces poussières terrestres
s’allient-elles à la voûte astrale
dont la grandeur gravite
en comblant l’Univers ?
Voici que tout se relie :
L’éther au firmament
La lune aux rayons du levant
Le nénuphar à l’onde odorante...
La nue esquisse des signes
Qui s’attachent à tes pensées.
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Gratitude pour vos commentaires que je laisse ouverts à tous, je les lirai avec joie au cœur de ma pause estivale. Bonne continuation à toutes et tous dans vos belles oeuvres. Je vous retrouverai avec bonheur début septembre. Lumineuses et fraternelles pensées.