Debout,
contemplative,
face à Toi,
Torrent du Bréda,
me revoilà
aux pieds de la montagne !
Ton flux
galopant
débite sa fougue,
Ton cours impétueux
s’épanche
sur un lit d’abondance !
Tes flots
roulent
avec fracas
à perte de vue
Jusqu’au bout
du monde ?
Ô oui ! suivre ton chemin
de mes petits pas
de pèlerin
Te suivre infiniment
Au gré
de ta voix rauque et puissante !
À peine, entends-je
le chant mélodieux
d’oiseaux,
Vois-je voler
le papillon
Tant je t’observe !
Ô Torrent ! J'observe les Verdeurs de la Création !

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