Ô mère, je vous aime et m’anime
votre âme
Ainsi que vos beaux yeux,
joyau de votre cœur ;
Votre joyeux sourire,
étincelle vainqueur
Le ciel ne peut se fendre en
d’obscures couleurs
Lorsque la nébuleuse étreint
la quintessence
Des jours perlés de grâce aux
cimes de l’absence ;
Les ailes de la voûte
épandent vos douleurs.
Vous souhaitiez partir vers
la suprême nue
L’implacable camarde en
délivre l’aveu ;
Les ors de l’empyrée ont
accueilli ce vœu,
À l’orbe du soleil, vous êtes
bienvenue !
Les frissons de l’hiver
vacillent sur les eaux
Dont l’écharpe chatoie au
creux de la prairie ;
Sur la terre se meut l’écrin
de poudrerie
Qu’une lueur épouse, inondant
les roseaux.
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