Tel un songe langoureux
Qui sourd de l’impénétrable
Dicte-moi ces mots heureux.
Dans un tourbillon fiévreux
Je fuis le repos durableTel un songe langoureux.
Tandis que s’apaise un creux
Où dormait l’inaltérable
Dicte-moi ces mots heureux.
Du baiser de l’amoureux,
Jaillit l’incommensurable
Tel un songe langoureux.
Sur le chemin poussiéreux
Se tend la main secourable
Dicte-moi ces mots heureux.
Des parfums perlent sur eux
Chère Muse vénérable
Tel un songe langoureux
Dicte-moi ces mots heureux !
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Gratitude pour vos commentaires que je laisse ouverts à tous, je les lirai avec joie au cœur de ma pause estivale. Bonne continuation à toutes et tous dans vos belles oeuvres. Je vous retrouverai avec bonheur début septembre. Lumineuses et fraternelles pensées.