L’instant sublissime te berce...
Tandis que le Breda
bouillonne allègrement
L’unité s’enracine au sommet
du Verneil ;
La terre qui tressaille
invite la moisson
Dont le blé s’alanguit prônant
sa délivrance ;
L’azur nimbe ton cœur d’amour...
Et voilà que le vent, d’un
souffle insaisissable
Soulève tes cheveux ;
Recueillant cette offrande
Tu la retiens captive en secret dans
tes mains ;
Infiniment léger(ère)
Goûtant les bienfaits de ce
monde,
Tu reprends ton chemin
D’un œil contemplatif ;
Heureux(se) des mystères de la Création…
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