Sous la nudité du ciel, le tressaillement des arbres
Instille sa plénitude
aux règnes magnifiés
Des sursauts du firmament, la brisure des nuages
Prône la fin du
voyage, émiettant leur noirceur
Du rideau révélateur de l’onde mystérieuse
Le flamboiement du
soleil habille l’immensité
Du sel pénétrant des larmes
Une pluie
éblouissante épouse la pesanteur
Qui baigne les fleurs
courbées
Un flot de lumière fond
Telle grâce virginale
au creux des corolles closes,
Son arôme t’étourdit
MUGUET, BOUGAIVILLIER, ROSES
Je m’enivre du parfum
de vos cœurs resplendissants
Lorsque dansent vos
pétales
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