3 mai 2014

1er mai 2014


Sous la nudité du ciel, le tressaillement des arbres
Instille sa plénitude aux règnes magnifiés 

Des sursauts du firmament, la brisure des nuages
Prône la fin du voyage, émiettant leur noirceur  

Du rideau révélateur de l’onde mystérieuse
Le flamboiement du soleil habille l’immensité 

Du sel pénétrant des larmes
Une pluie éblouissante épouse la pesanteur
Qui baigne les fleurs courbées 

Un flot de lumière fond
Telle grâce virginale au creux des corolles closes,
Son arôme t’étourdit 

MUGUET, BOUGAIVILLIER, ROSES
Je m’enivre du parfum de vos cœurs resplendissants
Lorsque dansent vos pétales

 
 


 

 
 
 
 
 

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