Ô Pyramide, es-tu celle que
nous croyons ?
L’illusion nous berce et le
subliminaire
Se baigne dans nos yeux pétris
d’imaginaire
Lorsque le photographe offre
l’échantillon
Du talent pur : son
œuvre ! Un bonheur qu’il génère.
Ô
Subtile
Apparence
Des lignes pures,
Exquise perception
D’une toile de Maître,
Le transitoire panorama
Escorte la suite des saisons
De la matière offerte,
ciselée,
Lorsque la Pyramide,
unie au ciel,
Accueille l’invité scrutant
l’infinitude
Tandis qu’une lumière insuffle
son visage,
Que dans les yeux sertis de la
voûte, baigne
L’éloge de la photographie
édifiée aux lisérés
Du temps que Yannig Hedel
pénètre et dévoile.
Hommage au
photographe lyonnais Yannig Hedel et Patricia son épouse.
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