Tanka :
Haïbun :
Le manteau brun des arbres brille, printanier, sous l’onde, la nue énamourée interroge les profondeurs, l’âme pénètre l’intimité du lac, languissent les effluves d’un songe. Sur l’anneau bleu du temps frivole, une main se glisse vers l’inconnu, s’enlace aux langueurs troubles, l’oiseau pépie et rompt l’humide monotonie...
Arbres dénudés,
Dans l’hivernale torpeur
Renaît la verdeur.
Bravo pour tes belles japonaiseries, on aurait presque envie que l'hiver dure quand on voit ça !
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