(Aux couleurs du monde)
Femme, ta peau d’ambre éclaire les couchants
D’un voile charnel étreignant les vents chauds ;
Les dunes de sable ont des mamelons d’ocre
Qui pointent leurs seins vers l’azur des silences.
Femme, ton regard sublime l’horizon,
Tu puises dès l’aube une force nouvelle
Et devient l’eau vive où le désert t’inonde ;
Trône ta présence au cœur de la famille.
Femme, ton courage et ton œuvre t’honorent !
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