L’étoile d’un soir luit, rieuse ;
Ses pétales sur le chemin
Sentent, suaves, le jasmin ;
La constellation d’hommages
Suit le cortège des rois mages.
L’immensité grise Gaspard
Le ciel exhorte Balthazar
Et brillent les yeux de Melchior ;
Les trois s’enivrent du décor !
Rencontreront-ils Jupiter ?
Ils contemplent, soumis, l’éther.
Des pas trottinent sur le sable,
Voici venir l'inconnaissable !
Hérode le cruel a peur :
Un "roi des rois" ? Quelle stupeur !
Il leur dit d’aller rendre grâce
Et lui rapporteront la trace.
Ils ont quitté Jérusalem
Pour une étable à Bethléem !
Près des bergers, proclame l’ange :
"Notre Sauveur est né ! Louange !"
Ils suivent la procession
Pour un temps d’adoration.
La lumière fuse, sacrée
En cette crèche, célébrée !
Vois le courroux du malveillant
À la recherche de l’enfant !
"Vite ! Quittez la bergerie …
L’Emmanuel, Joseph, Marie !"
Mes tout-petits, cette nuit-là,
Une pléiade, la nova
Ont scintillé, criblant la voûte !
Un sceptre éclaira notre route :
L’éblouissante Majesté
Resplendit sur l’Humanité.
La lumière fuse, sacrée
En cette crèche, célébrée !
Vois le courroux du malveillant
À la recherche de l’enfant !
"Vite ! Quittez la bergerie …
L’Emmanuel, Joseph, Marie !"
Mes tout-petits, cette nuit-là,
Une pléiade, la nova
Ont scintillé, criblant la voûte !
Un sceptre éclaira notre route :
L’éblouissante Majesté
Resplendit sur l’Humanité.
(Noël)
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