2 mai 2010

LES ENFANTS DE L'AURORE


Dans tes yeux, la tristesse augure du mystère
Le ciel de l’indicible approuve l’intermède

Le violon s’exalte, il t’emporte, éperdue !
Le concerto foudroie aux cimes du sublime

Se dérobe le soir sur le sentier des sources
T’enlacent des frissons réveillant le bonheur

Reflets sur le rivage où se brisent les flots
L’orgue de Barbarie attend la douce étreinte

La fugue a pris le voile, un goéland dessine
Une rose d’amour... Ô deux pétales pleurent !
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