Dans tes yeux, la tristesse augure du mystère
Le ciel de l’indicible approuve l’intermède
Le violon s’exalte, il t’emporte, éperdue !
Le concerto foudroie aux cimes du sublime
Se dérobe le soir sur le sentier des sources
T’enlacent des frissons réveillant le bonheur
Reflets sur le rivage où se brisent les flots
L’orgue de Barbarie attend la douce étreinte
La fugue a pris le voile, un goéland dessine
Une rose d’amour... Ô deux pétales pleurent !
Le ciel de l’indicible approuve l’intermède
Le violon s’exalte, il t’emporte, éperdue !
Le concerto foudroie aux cimes du sublime
Se dérobe le soir sur le sentier des sources
T’enlacent des frissons réveillant le bonheur
Reflets sur le rivage où se brisent les flots
L’orgue de Barbarie attend la douce étreinte
La fugue a pris le voile, un goéland dessine
Une rose d’amour... Ô deux pétales pleurent !
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