Aux cimes du chalet tu cueilles des myrtilles Le firmament rosit au bord de tes paupières ;
Grandeur du paysage où plane l’indicible
Sur la sente un chamois bondit à contre-jour ; Tu rejoins le refuge aux sources d'allégresse Et ta vue étreint l’or se mirant sur la crête ; Graviras-tu le pic de ces neiges d’albâtre ?